” Le râleur qui donne de la voix n’est plus redouté. Il est devenu une chance à saisir. Une opportunité de montrer l’excellence du service client.
(…) D’autre part, les remarques formulées par les clients permettent de mieux s’adapter au marché. (…)”.
« Le client qui « réclame », qu’il se plaigne d’un dysfonctionnement ou qu’il sollicite simplement des précisions sur un service ou un produit, devient une source d’information, un réservoir de marketing naturel » signale le chercheur Benoît Giry, qui termine une thèse en sociologie sur la gestion des réclamations à l’université de Bordeaux.
Vu sur LeMonde.fr : Le “râleur power” déferle sur Twitter par Julien Guintard.